Passer dans un pays européen, ce que cela implique

D’abord, sachez qu’il est possible de voyager dans les pays classés orange et rouges par la France en passant par un pays européen. Les pays européens n’exigent pas un motif impérieux pour passer par chez eux pour aller vers un pays qui ne fait pas partie de l’espace européen. Puis, si vous vous demandez si vous devez subir un test PCR en transitant dans un pays européen alors que votre pays de destination ne l’exige pas, la réponse est non. Voici un conseil pour voyager en ce moment, sortez de France par voie terrestre, c’est-à-dire par voiture, par train ou par bus. Ou bien, achetez vos vols séparément et non en code share pour les pays classés orange ou rouges par la France.

Rentrer en France

Vous vous êtes envolé vers un pays sans motif impérieux et à présent, vous voulez rentrer en France avec une correspondance en Europe. Vous vous posez la question sur ce que vous risquez si, en France, on relève que votre test PCR provient d’un pays n’appartenant pas à l’espace européen. En tant que Français, on ne peut pas vous renvoyer dans le pays où vous avez séjourné. Si vous venez d’un pays voisin, pour éviter tout risque, le mieux, c’est de rentrer en France par voie terrestre. Cependant, attendez-vous à une amende de 135 euros si vous vous faites contrôler à une frontière terrestre sans test PCR.

Les chambres d’hôtes

Les chambres d’hôtes sont une belle méthode pour se loger. Le Var dispose de centaines d’établissements qui vous accueilleront avec joie et chaleur. L’avantage d’opter pour ce type d’hébergement réside dans la proximité avec l’habitant ainsi que les économies au niveau des repas. C’est également un réel atout si vous souhaitez vous sentir comme chez vous durant votre week-end, tout en étant totalement dans un autre département. En somme, un déracinement total.

D’ailleurs, la majorité des propriétaires de chambres d’hôtes dans le Var se feront un plaisir de vous proposer des activités à faire comme la marche dans les rues de la ville, le marché ou tout simplement le fait de cuisiner les spécialités culinaires des lieux en leur compagnie. Ils sont également ouverts pour vous conseiller lors de vos visites ou de vos sorties.

Le camping

Le camping est l’une des idées logement les plus en vogue pour des vacances en couple dans le Var. Plusieurs établissements sont classés parmi les meilleurs du département et ses environs. Vous pourrez y louer des campings 4 étoiles à petit prix dans une destination de rêve.

Si vous êtes le type de couple à aimer partir à l’aventure, tout en gardant un certain confort de vie, c’est l’alternative parfaite. De plus, pour ceux qui ne peuvent pas se soustraire à la garde de leurs enfants, les activités sont multiples : faire du vélo, participer à des séances de jeux collectifs ou encore plonger dans la piscine, etc.

Vous aurez donc plus de temps à consacrer à votre conjoint, sans la pression du devoir parental, avec un minimum de dépenses et en prime une garantie au niveau de la sécurité de vos enfants. Autant dire que le camping a encore de beaux jours devant lui et que cette pratique ne cessera d’attirer les couples.

Les hôtels

C’est l’hébergement traditionnel lorsque vous êtes en déplacement. Les amoureux aiment profiter du confort d’un bel hôtel et de ses prestations haut de gamme. Rien de tel que de se relaxer dans un bon jacuzzi avec un verre de vin et des bougies pour faire renaître la flamme des premiers jours. Et pourquoi ne pas faire une surprise à votre compagne/compagnon en lui réservant un massage en duo ?

Pour trouver l’hôtel idéal, n’hésitez pas à visiter les sites web des hôtels réputés du Var ou de demander conseil à une agence spécialisée. Le seul inconvénient à ce type d’hébergement est le coût. En effet, une nuitée en hôtel est deux fois plus chère qu’une nuitée en camping. Généralement, c’est cette dimension financière qui freine la majorité des couples. C’est surtout le cas quand il leur est impossible de laisser leurs enfants à la maison et que le prix en famille excède le budget initial prévu.

Les tendances actuelles

Qu’est-ce que vous préférez d’habitude pour votre voyage ? Un séjour de repos, de découvertes culturelles, de visites de sites, d’activités sportives ? Mais quelles sont les tendances voyage en ce moment ? Il y a par exemple le voyage « écotourisme », autrement dit un voyage dans un lieu que vous visiterez tout en respectant la nature et la population. Le but en est de développer votre sensibilité par rapport à l’environnement, votre fibre écologique. Il s’agit d’un voyage responsable pendant lequel vous soutenez le patrimoine naturel ou culturel local, ou bien en découvrant les problématiques environnementales des lieux, etc. Madagascar et le Canada font partie des pays où expérimenter l’écotourisme.

Que dites-vous du « show travel » ?

Le concept du « show travel » s’adresse à vous si vous désirez lever le pied pour ralentir un peu, vous recentrer sur vous, en solitaire, à deux ou avec vos proches. Le but en est de détoxifier en quelque sorte votre cerveau afin que rien ne vous empêche de savourer pleinement votre voyage et votre séjour. Il s’agit donc de ne pas se précipiter, de prendre le temps de bien visiter un site, d’en admirer la richesse et d’en découvrir l’histoire, de ne pas multiplier les visites mais de se concentrer sur quelques-uns et en profiter à fond. Cette nouvelle façon de voyager permet aussi de réduire vos dépenses parce que vous allez par exemple privilégier le train au lieu de l’avion.

Où aller ?

Vous devez déjà garder en tête que la situation peut basculer à n’importe quel moment et les donnes peuvent changer du tout au tout, selon l’évolution du virus dans certains pays. Pour commencer, il est possible de vous rendre en Thaïlande pour plus d’un mois ; vous avez également la possibilité d’aller à Cuba mais seulement si vous êtes muni d’un résultat négatif d’un test PCR. Côté Afrique, Burundi, Cameroun, Bénin, Burkina Faso, Congo, Égypte, Mozambique, Niger, Tanzanie, etc. sont ouverts aux touristes avec quelques conditions à remplir. Vous aurez notamment à payer certaines redevances lorsque vous arriverez sur place, redevances vous permettant d’obtenir les certificats utiles pour votre voyage.

Restez prudent

Le mieux est de vous renseigner régulièrement en ligne pour avoir plus d’informations sur les formalités, les conditions d’entrée et les restrictions d’un pays. Vous pouvez vous procurer un visa en ligne pour certaines destinations. Il n’est pas évident de supporter le confinement et le stress dû à la pandémie du COVID, mais si la plupart des frontières restent fermées c’est qu’il y a une raison. Dans tous les cas, partir en ce moment demande de la préparation, il vous est même recommandé d’avoir une assurance COVID au cas où. Restez vigilant si vous arrivez à partir en voyage, vous profiterez alors sereinement de votre séjour.

Les papiers pour entrer sur le territoire

L’Espagne est l’un des membres de l’Union européenne. Elle fait aussi partie de l’espace Schengen. A cet effet, votre carte nationale d’identité française ou européenne suffit pour voyager en Espagne. Ceci est également valable si vous voulez partir vers les communautés autonomes d’Espagne tels que l’Archipel des Baléares et l’Archipel des Canaries. Les formalités d’entrée sont les mêmes que sur le territoire espagnol. Votre passeport est aussi accepté comme papier.

Les documents pour voyager avec des enfants

Un enfant mineur peut voyager en Espagne, s’il possède un papier officiel ou un passeport. Seul ou avec l’un des parents, l’enfant doit munir d’un document officiel supplémentaire signé par les parents ou le(s) tuteur(s) légal/légaux. Pour informations, depuis janvier 2017, l’autorisation de sortie du territoire est accordée pour les mineurs qui voyagent avec l’un de ses parents.

¬¬Les papiers pour conduire une voiture

Que ce soit pour conduire ou louer une voiture en Espagne, votre permis de conduire suffit. Les permis reconnus sur le territoire espagnol sont AM, A1, A2, A, B, BE, B1, C1, C1E, C, CE, D1, D1E, D et DE. Si vous optez pour une location de voitures, vous devez avoir au moins 21 ans, posséder un permis de plus de 1 an et être en possession d’une carte de crédit, à moins que votre permis n’ait été suspendu ou révoqué par le pays de délivrance.

Formalités de voyage

Pour entrer et séjourner en Inde, vous devez vous munir d’un visa. Pour en effectuer la demande, vous pouvez recourir aux services d’une agence spécialisée comme celle-ci. La validité requise pour le passeport est de six mois après la date de retour, et il faut au moins trois pages vierges dont deux face à face. Un visa de séjour en Inde est valide pendant 90 jours. Si ce délai est passé, il faut de nouveau effectuer une demande auprès de l’ambassade du pays, ou d’un service spécialisé pour cet effet. Il faudra compter près de 130 € pour la totalité des démarches de renouvellement de visa.

Alimentation sur place

La diarrhée du voyageur, qui est un problème de santé fréquent chez un touriste est due au changement brusque de climat et des habitudes alimentaires. Pour l’éviter, il est recommandé de boire uniquement de l’eau minérale en bouteille, et manger des aliments cuits. Privilégiez les fruits et légumes préparés par vos soins, ou par un personnel à votre disposition.

Idées d’activités

Parmi les activités incontournables lors de vos vacances en Inde, vous avez :
– la visite du triangle d’Or du Rajasthan avec ses richesses architecturales
– la découverte des palais de Maharadjas
– la visite des temples et anciennes ruines bouddhiques et hindous
– le trekking au Ladakh situé au sein de la haute vallée de l’Indus. Cette montagne de 5 000 m d’altitude offre une vue panoramique sur toute la région
– l’exploration des édifices de Shimla se trouvant à environ 2 200 m d’altitude
– l’escapade à bord d’un train à vapeur de la ligne Kalka-Shimla à travers plus de 100 tunnels et 700 ponts. Cette étape se trouvant en plein cœur de l’Himalaya est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Bien préparer les documents

Il n’est pas possible d’entrer à New York sans disposer d’un passeport à jour. Si vous souhaitez faire votre premier passeport, il faut se rendre sur le site Service Public. Si c’est pour un renouvellement, il faut faire en sorte que la date d’expiration soit valide et qu’elle le soit au moins 6 mois après votre retour de New York. Ensuite, il est nécessaire de faire une demande d’ESTA. C’est un système qui autorise votre séjour et voyage sur le territoire américain et qui remplace le Visa. L’ESTA est un formulaire qui doit être rempli en ligne sur un site du gouvernement des États-Unis. Si le service en charge de la sécurité intérieure du pays valide le formulaire, vous pourrez entrer au pays tranquillement et y séjourner. Il est à noter que chaque visiteur doit demander un ESTA. Sa durée de validité est de 3 mois. Par ailleurs, il est recommandé de n’acheter les billets d’avion que si l’ESTA est accordé. Outre ces points, il est important de souscrire à une assurance voyage. C’est nécessaire, car le coût des consultations et prestations médicales aux États-Unis est cher. Pour terminer, pensez à prévenir votre banque de votre déplacement. Cela, afin d’éviter qu’elle ne bloque les transactions venant de l’étranger en croyant à des opérations frauduleuses. Dans tous les cas, échangez des euros en dollars avant de partir.

Les bons plans à connaitre

Pour ne pas se ruiner pendant son séjour à New York, il faut connaitre la meilleure période pour réserver ses places d’avion. Notre conseil dans ce cas c’est de chercher les ventes flash auprès des compagnies aériennes. Généralement, lors de ces promotions, les billets d’avion sont à 100 euros moins chers que le prix normal. Cherchez aussi sur les blogs de voyages les promotions disponibles chez les compagnies aériennes pouvant vous faire gagner des centaines d’euros. Si possible, évitez de partir en période estivale. Le prix des billets peut coûter le double de ce que vous pouvez avoir en arrière-saison.
Il faudrait penser à bien budgétiser son voyage, car la vie est très chère à New York. Concernant l’hébergement, pensez tout d’abord à consulter des guides de voyage pour connaitre les différents quartiers de la ville et le prix moyen des hébergements selon les quartiers. Si vous avez un budget limité, pensez à réserver dans les auberges de jeunesse. La nuitée y est d’environ 30 euros.
Quant aux activités à faire à New York, listez les sites à voir et à faire. Comptez les lieux qui demandent un droit de visite. S’ils sont nombreux, pensez à avoir un Pass. Rendez-vous sur New York I Love You pour avoir un aperçu des différents Pass que vous pouvez utiliser. Notez qu’un Pass vous offre des réductions sur les droits de visite et vous évite aussi la file d’attente.
Enfin, pour réduire vos dépenses en restauration, mangez le plus souvent dans les fasts food ou les petits restaurants.

Les critères pour choisir votre camping

Comme vous pouvez le voir sur https://camping-pays-basque.com/, les campings dans le Pays-Basque sont nombreux. Pour vous aider à choisir, la localisation est un critère primordial à étudier. Que ce soit dans le Pays Basque ou ailleurs, il est essentiel d’opter pour un établissement qui se trouve près d’au moins une attraction. L’idéal serait d’avoir un emplacement suffisamment près de la plage. Le nom de la ville la plus proche compte également. En terres basques, les campings sont proches d’Hendaye, de Biarritz ou bien de San Sebastian. Les prestations proposées par le camping aux clients vont beaucoup compter. Les meilleurs campings vont faire beaucoup plus que louer un mobil home ou un emplacement pour camping-car. Ils proposent les commodités telles que l’électricité, l’eau courante et le Wifi. Vous ne faites pas le déplacement pour voir la télévision, mais avoir un poste qui capte les chaînes par satellite dans votre bungalow serait un vrai plus. La présence d’une petite terrasse pour les apéros pourrait aussi faire la différence. Tant mieux si le camping propose une laverie et des installations du genre. Si le camping se trouve légèrement en retrait de la ville ou du village, vous avez intérêt à vérifier qu’il a un restaurant et une épicerie. Voyez également si la kitchenette équipée du mobil-home a un réfrigérateur.

Considérer les spécialités ou les avantages des différents campings basques

Si vous choisissez de camper à Hendaye, le mieux serait d’opter pour un établissement situé près de la plage. Un complexe hôtelier à ciel ouvert sur les hauteurs de la Rhune devrait aussi vous ravir. Cette petite montagne donne une vue imprenable sur la station balnéaire et l’Atlantique. En choisissant de faire du camping à Hendaye, vous aurez droit à une multitude d’activités. Cela va de la bronzette aux sports nautiques, en passant par les longues balades le long des côtes. Certains campings proposent aussi des randonnées à cheval. Il est également possible de tourner le dos à l’océan pour entrer à l’intérieur des terres. À Suhescun par exemple, un paysage rural remplace le bord de mer. Dans ce coin de paradis, loin de l’agitation de la foule, vous pourrez trouver la tranquillité dans un camping avec une ferme, voire tout un parc animalier. À Saint-Jean-de-Luz comme à Bidart, les établissements font face à une demande importante. La concurrence est également rude entre les campings. Alors, jouez sur la concurrence, comparez les prix. Vous trouverez ainsi des campings locaux haut de gamme, à 4 étoiles ou plus, mais qui gardent un prix compétitif.

Quelques recommandations qui peuvent encore vous aider

Pour garantir la qualité de prestation d’un camping, vous pouvez vous fier aux labels. Ces reconnaissances accordées par un organisme certificateur attestent le sérieux d’un établissement. L’appartenance à un réseau ou une chaîne de campings devrait aussi assurer le maintien d’un standard de qualité. Cela dit, le seul moyen d’en avoir le cœur net serait de visiter avant de réserver. Passez un coup de fil pour demander tous les renseignements dont vous souhaitez avoir. À la rigueur, vous pouvez consulter les avis des autres clients passés par le camping. Lisez attentivement les commentaires laissés par la clientèle. Faites la distinction entre les propos formulés par les professionnels de la communication et les vrais témoignages. Les photos souvenirs authentiques devraient vous apporter d’importantes informations. Ce serait encore meilleur s’il est possible d’en parler de vive voix avec des amis ou des connaissances qui ont dernièrement passé leurs vacances dans un camping du Pays Basque.

L’Australe est une destination de rêve, parmi les plus populaires au monde. La population locale vous réserve un accueil chaleureux et les activités qui vous attendent sont particulièrement nombreuses. Dépaysement garanti !

Les différentes formalités nécessaires

Avant de partir pour l’Australie, vous devez connaître toutes les formalités nécessaires. Qu’en est-t-il du visa et du passeport ? Ce sont les principales formalités à préparer. Pour entrer dans n’importe quel pays, le visa est en principe requis. Pour l’Australie, votre visa doit être valide, vous avez le choix entre un visa vacances-travail et le visa tourisme. Tournez-vous vers l’Ambassade ou le Consulat d’Australie pour demander votre visa. Il y a deux sortes de visa auquel vous pouvez prétendre pour le tourisme en Australie :
• ETA ou Electronic Travel Authority/ Visa Autorisation électronique de voyage : coût 20 dollars, offrant aux voyageurs de venir souvent en Australie sur une durée de un an.
• Visitor Visa ou Visa de Visiteur : frais entre 135 et 340 dollars, visa idéal pour les voyages d’affaires et les voyages touristiques pouvant durer entre trois à 12 mois.

Pour le visa de travail, vous devez remplir toutes les conditions requises notamment avoir l’âge compris entre18 et 30 ans lorsque vous déposez votre demande. Avez-vous déjà bénéficié du Working Holiday Visa ? Si ce n’est pas le cas, vous pouvez demander le visa sans soucis. Une autre condition est de ne pas se trouver sur le sol australien lorsque vous effectuez votre demande. Souscrire une assurance est également requis, celle-ci doit pouvoir vous couvrir jusqu’à la fin de votre séjour. Vous ne devez pas emmener avec vous une personne à charge notamment votre enfant et vous devez avoir sur votre compte bancaire un montant de 3500 euros minimum. Cette somme est une sorte de garantie pour l’Etat australien, c’est la preuve de votre crédibilité. Déposez votre demande en envoyant un courrier ou sur le site adapté à cet effet, Le coût du visa est d’environ 290 euros. La réponse vous sera envoyée par courrier électronique
D’autres types de visa existent, renseigner-vous en ligne sur le site officiel du ministère de l’immigration et la Protection des frontières (e-visitor, visa étudiant, etc.). En ce qui concerne le passeport, tous les voyageurs doivent disposer d’un passeport en cours de validité. Passeport à renouveler en cas de besoin, à vous de voir les conditions de renouvellement qui sont variables en fonction des pays.

Informations complémentaire

La souscription d’une assurance est absolument nécessaire pour un voyage en Australie. Vous devez savoir que le coût de la vie est plutôt élevé dans ce pays, l’assurance vous permet de couvrir les dépenses occasionnées par la santé (consultation 70 dollars en moyenne). Votre assurance doit pouvoir vous couvrir durant votre séjour, extension à envisager en cas de séjour prolongé. Choisissez bien votre assurance voyage, comparer les garanties de différents assureurs pour trouver celles adaptées à un voyage en Australie. La souscription à une assurance voyage vous permet de partir l’esprit tranquille, les garanties peuvent être variées.
Quelles sont les précautions à prendre avant de départ en matière de santé ? Aujourd’hui, aucun vaccin n’est recommandé avant de partir en Australie. Si vous suivez un traitement spécifique, pensez à emporter vos médicaments. C’est pour éviter d’acheter des médicaments sur place où les prix sont particulièrement élevés. Raison de plus pour souscrire une assurance santé, souvent incluse dans l’assurance voyage en général, tout comme l’assurance annulation, l’assurance bagages, l’assistance voyage, l’assurance rapatriement, l’assurance responsabilité civile, etc. Lisez les détails de votre contrat pour connaître les plafonds, les exclusions et les franchises, sans oublier les barèmes de remboursement prévus.

C’est un fait ! Quiconque veut partir à la découverte de n’importe quel pays étranger doit passer par une demande de VISA. Ce document vous autorise à entrer sur le territoire et à demeurer sur place pendant un certain délai. Mais que se passe-t-il si vous dépassez la date prévue ? Là est la question.

Un visa touriste de 3 mois

Pour des vacances, le mieux est d’opter pour un visa touriste. Malgré que le délai d’une telle autorisation de séjour ne soit que de 3 mois, il n’en demeure pas moins qu’elle est plus facile à obtenir. Et de toute façon, 3 mois c’est amplement suffisant pour apprécier les différents sites touristiques de la région. D’autant que vous n’avez jamais autant de jours de congé en une seule fois.
Le délai d’un VISA et celui de votre passeport sont concomitants. C’est-à-dire que l’invalidité de l’un peut entrainer la péremption de l’autre. Dit plus simplement, si au cours du voyage, votre passeport expire, il en sera de même pour votre VISA. D’où l’importance notamment de faire preuve de minutie dans la calcule du délai de votre séjour.

Quelques jours de rallonge

Néanmoins, si votre visa expire au moment où vous décidez de rentrer à la maison, voire quelques jours avant cela, les autorités sur place peuvent vous accorder le bénéfice du doute. Attention, on parle d’un retard de 3 à 5 jours et non de plusieurs mois. En effet, dans le second cas, il sera question de clandestinité. Ce qui peut ouvrir les portes à des peines d’emprisonnement et d’amende, selon le cas.
Il ne faut pourtant pas se dire que comme vous pouvez profiter de quelques jours de rallonge, vous allez vous permettre de trainer les pattes pour rentrer. Le fait de rentrer au-delà du délai autorisé peut compliquer le retour. Vous devez notamment passer par une enquête de la douane et des autorités du pays. Et vous aurez à passer plusieurs heures dans l’aéroport.
Raison pour laquelle, les voyageurs préfèrent rentrer 3 ou 2 jours avant la péremption de leur autorisation.